Infirmières privées
Le patron n'a qu'à décrocher son téléphone et sonner ses deux cochonnes d'infirmières : elles arrivent. Lorsqu'elles arrivent, d'ailleurs, le patron est déjà prêt pour la séance : il a un braquemart raide comme du béton ! La première se penche sur lui, dans sa blouse en latex, et la deuxième, une brune splendide, ouvre grand sa bouche pour goûter à son membre. Avec ces deux cochonnes finies pour lui tout seul, le patron ne perd pas le nord. Il les aligne à quatre pattes l'une à côté de l'autre et inspecte leurs fentes, leurs fions de dingue, ava, t de leur faire essayer les joies de son chibre. Ces deux jolies garces s'affairent autour de son manche et ne semblent jamais s'en rassasier. Elles se battent presque comme des chiffonnières pour prendre en premier le coup de gourdin qui les conduira à l'orgasme. Et leur deux corps sont tellement bandants que le maître ne va pas se priver de les baiser l'une après l'autre sans jamais s'arrêter. L'une jouit, l'autre jouira. Et lui, il se réserve pour inonder leurs deux petites bouches de sperme !
SAMEDI 8 JANVIER 2011
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